Le Kiwalympic revient au stade Lucien Gustin de Hannut pour offrir à 250 enfants de l’enseignement spécialisé une journée sportive, inclusive et festive.

Le Kiwalympic fait son grand retour le 22 mai 2025 pour une journée inoubliable dédiée à l’inclusion et au sport. Près de 250 enfants de l’enseignement spécialisé participeront à cet événement festif, encadrés avec dynamisme par les étudiants de la section animation et éducation du Collège Sainte-Croix et Notre-Dame Hannut.

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« Différents ateliers sportifs seront proposés, c’est une journée qui sera entièrement dédiées à ces enfants car tout est fait pour qu’ils repartent avec des étoiles plein les yeux », confie Sabrine Pollenus, Présidente du Kiwanis Haut-Geer – Comtesse de Hesbaye, organisateur de l’événement.

« Grâce à notre collaboration avec la ville de Hannut, nous pouvons bénéficier de la piste d’athlétisme indoor et outdoor. Le 22 mai, c’est donc là-bas que nous accueillerons les enfants », continue la Présidente. « On doit aussi énormément remercier le Collège Sainte-Croix et surtout l’une de ses enseignantes, madame Guillaume, qui a tout de suite été très emballée par le projet. »

Les enfants pourront profiter de plusieurs activités comme du saut en longueur, du saut en hauteur, ainsi que des jeux d’agilité. « Ils seront amenés à découvrir de nouveaux sports, sous l’encadrement des élèves du Collège. »

Toujours en quête d’amélioration

Plusieurs écoles de l’enseignement spécialisé seront présentes, mais pas que. Dans un souhait d’inclusion, une école de l’enseignement ordinaire a été invitée à participer à cet événement qui rassemble 250 enfants. Cette expérience de sport unifié permet de rassembler les enfants en situation de handicap mental ou non, de créer des rencontres et de se dépasser.

« Après les deux premières éditions, on a tout de suite voulu savoir ce qui avait fonctionné, et ce qui avait un peu moins bien marché. Les écoles qui participent sont très ouvertes là-dessus également. Il faut tout prévoir à l’avance. Il n’y a pas de place pour l’improvisation », termine Sabrine Pollenus.